C’est la légende qui circule dans toute la France. La parisienne est inaccessible, elle est arrogante, elle est distante. Bullshit ! La femme parisienne n’est pas plus dure à choper que la meuf de Toulouse. C’est juste une technique et une attitude à avoir. Tout d’abord, sachez que la salope Paris est une fille facile. Elle est très répandue tant sur la Rive Gauche que sur la rive Droite. On aurait même tendance à dire que les meufs du 8ème et du 16ème sont des chaudasses. Bien que matérialistes, elles sont blasées et sont ouvertes à de nouveaux plans cul. Bien souvent, c’est la bourgeoise qui veut goûter au bad boy de banlieue. On peut les voir dans les boites du triangle d’or, elles veulent se faire baiser sérieusement et oublier les Charles-Henri et les Thibault le temps d’une nuit. Donc, non, la parisienne, y en a pour tous les goûts. Paris est une capitale mondiale où on aime la diversité.
Le libertinage dans la capitale
On n’arrive mal à délimiter la limite entre le libertinage et la liberté. A Paris, les femmes sont souvent habituées à coucher le premier soir. La ville est suffisamment grande pour ne jamais recroiser la même personne au même endroit. Ainsi, la parisienne n’est pas libertine, elle est juste parisienne. Les récits de mecs qui ont réussi à baiser 5 meufs différentes en une semaine sont monnaie courante. Pour ce qui est du vrai libertinage ou de l’échangisme, le We Club est en vogue et on peut toujours se rendre aux Chandelles si on est en couple. Dans le quartier de Pigalle ou du 17ème arrondissement, les spots libertins secrets et cachés existent. Il suffit d’être un peu renseigné. Lisez le magazine Wyylde ou écoutez Radio Libertine et vous aurez les bons tuyaux pour savoir où niquer de la bourgeoise dans la capitale.
Endroit de préférence pour le sexe : enculer sur le plan de travail
Avant de passer au chose sérieuse, j’adore prendre un verre pour rompre la glace. Cela peut se faire par webcam aussi, le tout c’est qu’on apprenne à se connaitre avant d’entamer les câlins.